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Impaact, la force du réseau pour gérer une situation inédite

Sur chacune des deux plateformes du réseau Impaact, deux équipes se relaient pour assurer la continuité de l’activité. Avec un nettoyage des locaux entre chaque relais et des mesures de protection pour les salariés.

Fort de 80 négoces membres, le réseau Impaact s’organise face à la crise sanitaire actuelle pour assurer leur approvisionnement et les rassurer.

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Pour Loïc Poirier, directeur général du réseau de négoces Impaact, « la principale force du réseau est de faire en sorte que, face à cette crise inédite, personne ne soit seul ». Aussi, réunions en visioconférence et appels téléphoniques s’enchaînent au quotidien.

De plus, chaque semaine, une newsletter est envoyée aux entreprises pour partager les bonnes pratiques, notamment en termes de mesures de prévention, les astuces de tout un chacun, l’organisation des deux plateformes d’Impaact, des sujets d’actualité…

Une équipe de réservistes pour les plateformes Seveso

Justement, depuis ses deux plateformes situées à Châteaubourg, en Ille-et-Vilaine, et à Labastide-Saint-Pierre, dans le Tarn-et-Garonne, le réseau Impaact continue à approvisionner ses négoces membres « pour toutes les familles de produits », tient à préciser Loïc Poirier. D’ailleurs, afin d’assurer, quoiqu’il arrive, la sécurité de ces plateformes qui relèvent des normes Seveso, des salariés ont été appelés à rester confinés chez eux pour former une équipe de réserve.

Ces plateformes fonctionnent à ce jour avec deux équipes, une le matin et une l’après-midi, sur un créneau horaire 6 h-20 h. Un service de nettoyage intervient après le passage de chaque équipe. Les gestes barrières et autres mesures de prévention sont bien sûr de mise et des masques ont pu être distribués grâce à des stocks permanents de FFP3.

Une filiale transport qui permet d’assurer

Dernier point essentiel : le transport qui est assuré grâce à la filiale d’Impaact, Gruel Fayer Transport. « Tous nos chauffeurs répondent présent, ainsi que des transporteurs externes. Certes, nous enregistrons des surcoûts que nous sommes en train d’analyser. » Jusque-là, l’activité de cette filiale se partageait entre 60 % pour l’activité agricole et 40 % pour d’autres activités. Comme ces dernières se sont fortement réduites et que la demande du secteur agricole est importante, son activité est tournée vers l’agriculture pour 90 à 95 % à ce jour.

Hélène Laurandel

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